Les gardes forestiers
Posté par Bernard POULET le 24 juillet 2008
Le poste forestier de Saint Sauveur a abrité un grand nombre de gardes qui ont été requalifiés dans les années 50 « ingénieurs des eaux et forêts ».
Se sont succédés dans ce poste, avec leur famille, Messieurs :
- 1881 Auguste Ledru
- 1888 Ancelin
- 1890 Dussourd
- 1890 Collas
- 1936 à 1944 Pierre Lacaille
- 1944 à 1950 Bastide
- 1950 à 1956 Paul Ponnelle
- 1956 à 1962 André Empinet
- 1962 à 1970 Jean Dibetta
- 1970 à 1971 Lascar
- 1971 à 1973 Jean-Claude Lannier
- 1973 à 1989 Jean-Jacques Luquet
- 1989 à 1999 Auproux
- 2001 à … Stéphane Brault
Merci d’avance à ceux qui pourraient aider à compléter cette liste chronologique… L’ administration des Eaux et Forêts s’en étant déclarée incapable quant à elle !
Poste forestier du Hourvari:
- 1887 Monsieur Varé
- 1888 Monsieur Collas
- 1888 Monsieur Demarque (brigadier)
- 1936 Monsieur Roland (Brigadier)
- Après le passage de Monsieur Débouis, qui a donné son nom au carrefour, ce poste a été occupé au début des années cinquante par un petit monsieur dont j’ai oublié le nom (peut être Monsieur Boulanger ?); mais je me rappelle de son élevage de moutons et de chèvres qui était abrité dans un petit bâtiment de bois situé entre la route de La Croix Saint Ouen et celle de Saint Sauveur.
- Ensuite est arrivée la famille Salomon dont les enfants fréquentaient l’école de Saint Sauveur et y venaient à pied ou à bicyclette !
Après le départ de Monsieur Salomon le poste forestier fut apparemment cédé par l’administration des Eaux et Forêts à des propriétaires privés.
Merci à Emmanuel Danne qui m’a fourni quelques précisions qui me manquaient sur les occupants du poste forestier de Saint Sauveur
Du fait, je recherche les traces du passé….
Félicitations ce blog est très bien fait.
Quand la photo de maison forestière où nous étions a t-elle été prise? J’ai l’impression qu’elle est antérieure à notre séjour (1956 -1962). Certains détails le suggèrent. Par exemple à droite de la maison (sur la photo) il y avait une porte fenêtre qui n’est là qu’une fenêtre…
Bien cordialement
Jacques Empinet